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Équipe 1ère

OM - Auxerre : La conférence de presse

Conférence de presse
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Le Vendredi 28 avril 2023 à 11:30
Suivez en direct de l'OM Campus à partir de 14 heures la conférence de presse avant OM - Auxerre avec Issa Kaboré et Igor Tudor.

 

la conférence de presse : le replay sur Twitch

 

Issa Kaboré : «Avec détermination et engagement»

Ça va mieux, plus encore maintenant. Le travail collectif et les coéquipiers s’amusent encore plus avec moi.

Je me sens beaucoup mieux qu’avant. C’est grâce aux coéquipiers. Je préfère jouer à droite.

En défense, il faut suivre ton homme. C’est vraiment très bien.

Cela ne change pas grand-chose, l’équipe prime. 

C’est beaucoup mieux mais il n’y a pas grand-chose qui a changé.

On prend match par match en essayant de gagner chaque match. Le plus important, c’est Auxerre. On va l’aborder avec engagement et sérieux.

Dès que j’ai vu Alexis avec le ballon, j’ai fait l’appel. J’ai voulu donner le ballon, ensuite le ballon a tapé-tapé et je l’ai vu au fond des filets. C’était magnifique !

Ce n’était pas facile mais mes grands-frères dans le vestiaire m’ont aidé, notamment Chancel Mbemba.

La défense individuelle, c’est nouveau. Je n’ai pas de préférence, on fait tout ce que l’on peut pour l’appliquer.

L’avenir… Je me concentre sur les matchs qui viennent. Le reste, ça dépend des clubs, on verra après. Je veux rester car tout se passe bien et je suis heureux ici.

C’est difficile contre toutes les équipes à domicile. On l’aborde avec détermination et engagement afin de le gagner.

Tous les grands-frères ont beaucoup compté pour moi, ils me conseillent. Mbemba et tous ceux qui ont de l’expérience. Je les remercie beaucoup.

Ils m’ont dit la même chose : de rester moi-même, de m’amuser et de prendre du plaisir.

 

Igor Tudor : «Une grande application mentale et physique»

Je suis content de cette victoire à l’extérieur. Il y a une grande application mentale et physique de la part des joueurs. C’est bon signe avant les matchs à jouer.

Tout le monde va bien.

Je ne crois pas qu’Amine Harit puisse rejouer en fin de saison. Il manque un peu de temps. Je suis content pour lui, c’est un joueur extraordinaire. Sa récupération progresse bien, il pourra bientôt s’entraîner avec le groupe.

C’est une bonne question. Je les choisis en fonction de toutes ces choses (état de forme et adversaire) mais surtout en fonction de l’adversaire. Sur les trois postes, quatre joueurs ont beaucoup joué (Chancel, Leo, Sead et Samuel). Ils ont fait une bonne saison avec des hauts et des bas mais c’est normal, c’est le football. 

Quand on gagne, je suis content, c’est normal. Ce qui est important, c’est ce que les joueurs ressentent en eux. Ce sont les valeurs des joueurs qui décident des résultats. Plus ils seront conscients de la valeur des matchs qui restent, plus ils pourront les gagner.

On a fait un bon travail cette saison de ce point de vue-là. On pense au prochain entraînement, même pas au prochain match. C’est une vision bien ancrée chez les joueurs.

Il y a toujours des choses à améliorer. Les joueurs doivent bien se comprendre. Vitinha est arrivé en cours de saison, il a besoin de jouer pour s’adapter. C’est la qualité individuelle des joueurs qui fait la différence et je suis très content de Vitinha et Alexis Sanchez.

Il faut toujours avoir un peu peur (des matchs-pièges). Il reste si peu de matchs que perdre des points serait compliqué. Perdre avant d’aller à Lens… Les joueurs en sont conscients.

J’ai beaucoup parlé avec Guendouzi tout au long de la saison. Parfois, il faut aussi savoir se taire. J’ai été joueur. Je sais que ces périodes sont difficiles. Le coach fait des choix. Au début, je devais gérer un groupe qui n’était pas si facile à gérer. Aujourd’hui, c’est plus simple. Quand on voit nos entraînements maintenant, on voit que c’est bien différent par rapport au début de saison.

Je ne peux parler qu’en bien de Payet. C’est un très grand joueur, très pro. Il a bien géré cette saison. Je ne suis personne pour donner des conseils.

Défensivement, il ne faut pas être passif et essayer de récupérer le ballon. Cela passe par un pressing, individuel ou en zone. J’ai pensé changer en cours de saison mais finalement je suis resté sur mon idée pour ne pas envoyer un mauvais message à l’équipe.