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OM-Villarreal : la conférence de presse

Conférence de presse
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OM.fr
Le Mercredi 6 mars 2024 à 03:00
Suivez en direct à partir de 16h15 la conférence de presse avec Jean-Louis Gasset et Quentin Merlin à la veille du huitième de finale aller d'UEFA Europa League entre l'OM et Villarreal à l'Orange Vélodrome.

 

le replay de la conférence de presse sur Twitch

 

Quentin Merlin : «Le coach a apporté sérénité et confiance»

On a pris les fondamentaux. Le coach a apporté sérénité et confiance. On travaille bien à l’entraînement et cela se voit en match. On s’est préparé pour faire un gros match aller.

On n’en parle pas trop. On ne joue pas contre Marcelino. On veut se qualifier et prendre une option dès le match aller.

J’ai connu l’OM dans une période difficile avec un changement d’entraîneur et dans une meilleure période. Je me sens bien ici, je travaille, je progresse. Je suis très content d’être venu ici.

On veut aller le plus loin possible dans chaque compétition. On veut jouer la qualification. Villarreal a gagné cette compétition il y a 3 ans. On va tout donner pour passer ce tour.

On sait ce que l’on fait sur le terrain. On concède des buts, on doit monter le curseur d’un cran pour être meilleur.

Ce sera un match très difficile. Villarreal a de l’expérience, ils ont l’habitude de jouer les matchs européens. Ce sera un match engagé, il faudra répondre présent et bien entamer le match pour prendre le dessus sur cette équipe.

Quand les victoires sont là, la joie et les sourires sont là. Les joueurs sont plus épanouis, la confiance est là.


Jean-Louis Gasset : «Prendre une option conséquente»

Il y a quelques incertitudes. Cela se passe bien mais le vrai test sera la dernière séance d’aujourd’hui (mercredi).

On n’en parle jamais. Je n’étais pas en France quand Marcelino entraînait l’OM. On joue contre Villarreal. On connaît leur jeu. C’est quelqu’un de respectable, il a une méthode. On fera le maximum pour contrecarrer tour ça.

Il faut les féliciter mais leur montrer que des erreurs existent aussi. Elles ont lancé ou relancé nos adversaires. Il faut gommer ces erreurs pour faire une belle fin de saison.

Intensité, agressivité. Techniquement, ils sont très forts. Des milieux habiles, des attaquants efficaces. Ils se sont remis dans la bonne dynamique. Il faudra leur faire sentir que nous aussi. On a des atouts. On a notre public aussi qui va nous faire se surpasser.

C’est la confiance des attaquants, les joueurs qui sortent du banc qui sont dans le bon état d’esprit… On a besoin de tout le monde. On a besoin de reposer certains pour avoir une équipe fraîche. Quand les joueurs entrent et marquent, ils font leur job et postulent pour le prochain. Quand un attaquant est en confiance, il tente un truc qu’il n’aurait pas tenté.

Laisser le ballon à l’adversaire n’est pas trop ma tasse de thé. Contre Clermont, on a eu la maîtrise du jeu. On a adopté une tactique qui convenait aux joueurs. Si Villarreal veut nous laisser le ballon, je suis content.

Par le travail… Les mettre à leur poste, leur faire réussir des choses simples. Cela fait beaucoup de choses en peu de temps. Il fallait décrisper les joueurs en avenir.

Aubameyang est un grand joueur, un buteur, une très bonne personne. Il aime des situations de jeu, se placer à certains endroits et c’est là que nous le mettons. Il fallait le caler là où il aime être. Je le connais depuis longtemps, je connais se points de départ et d’arrivée. En une séance de travail, il a vu que je le connaissais par cœur. La mentalité et le talent, c’est unanime.

Le foot est une fête. Suspendre une tribune est une aberration. Le foot, c’est de la joie, de la communion. Tant mieux pour les enfants. C’est un désastre de jouer devant une tribune vide.

J’ai mon idée sur l’affaire. Je sais où Aubameyang aime jouer, où il n’aime pas jouer. On arrive à trouver un consensus.

Prendre une option conséquente dès le match aller. Selon le score à la fin du match, on dira que l’on est à la mi-temps… Prendre une option conséquente mais pour ça il faut jouer.

J’attends que le public nous transporte. Ils ne nous ont jamais lâchés. C’est le 12, 13, 14e homme. Ce public est spécial. Le premier match, c’était tendu. Ils étaient là, ils voulaient qu’on leur fasse plaisir.

Je ne me suis pas rendu compte que le premier match était déjà décisif. J’étais focalisé sur la mission. Ce que l’on a fait est bien mais ça peut être très bien. On n’est pas à fond. Le ballon ne brûle pas les pieds, on peut jouer de différentes manières. Il y a beaucoup de bonnes solutions si tout le monde est dans le bon timing.

Les enfants ont les yeux qui pétillent en voyant l’OM. Il y aura peut-être des futurs joueurs de l’OM dans la tribune.