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Pourquoi se faire une équipe OM à Sorare ?

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OM.fr
Le Jeudi 11 mai 2023 à 03:30
Vibrer avec l'OM, c'est possible tout au long de l'année. Avec Sorare également. Du coup, en combinant les deux, est-ce que les émotions sont multipliées ?

Nick Hornby est un romancier anglais. Une de ses œuvres majeures, Fever Pitch, a fait un carton outre-manche. Le livre a même été adapté deux fois au cinéma. L'histoire, largement autobiographique, tourne autour d'un homme qui n'aime rien de plus que son équipe de foot. L'histoire se passe à la fin des années 80 et le héros trouve la parade pour surmonter la déception d'une contre-performance : il mise... contre son club. De quoi être gagnant à tous les coups. Si sa formation fétiche perd, il peut se consoler en se disant qu'il gagne sur un autre tableau, si elle l'emporte, rien ne pourra de toute façon le rendre plus heureux. 30 ans après, avec la déferlante Sorare, Nick Hornby pourrait-il appliquer la même recette ? Si seul l'intéressé peut répondre à la question, du côté des fans de l'OM, le calcul semble différent : vivre l'expérience Sorare avec des joueurs de l'OM, "ça amplifie clairement ton expérience club" résume Clément, qui ne rate aucun match depuis le Colorado et Denver pour être précis. Son ami Arnaud, basé à San Francisco, également à fond dans l'aventure Sorare, ne dit pas autre chose : "Tu es en folie quand tu vois l'OM gagner un match, et si tu as des Phocéens dans tes équipes Sorare, tu te dis que c'est bien parti pour avoir un classement intéressant et les récompenses qui vont avec puisqu'ils doivent logiquement avoir de bonnes notes".

 

"L'OM, ça tourne et ça produit du jeu"

 

Si ces deux expatriés ont fait le choix de mettre leurs œufs dans le même panier, ce n'est pas juste une question d'émotions. Pour être performant à Sorare, il faut être en mesure de faire la chasse aux DNP ("Do Not Play" en anglais). Si on aligne un joueur blessé, suspendu, ou tout simplement qui reste sur le banc pendant tout le match, c'est un 0 pointé à l'arrivée et donc un sérieux poids dans la note finale. Pour limiter un maximum les impondérables, autant prendre des joueurs de son club, dont on ne rate aucune info tout au long de la journée. "A Sorare, il faut des joueurs des équipes que tu suis de près. Comprendre le jeu, la philosophie du coach, ceux qui sont alignés, ceux qu'il a dans le pif..." confirme Clément. Arnaud, un habitué des conférences de presse en live sur le site officiel, complète : "On a forcément un avantage sur les autres quant à la compréhension de l'effectif, on sait quels sont ceux qui risquent d'être absent, ceux qui tirent les corners, les penalties... tous ces facteurs qui jouent sur la note finale". Ils se rejoignent sans mal sur ce point, commencer Sorare avec des joueurs de l'OM, c'est le meilleur moyen de bien comprendre le mécanisme du jeu. D'autant plus avec la stabilité sportive du club. "Depuis deux saisons, l'OM est une équipe qui joue la deuxième place en France, qui a fait tout de même une demi-finale de Coupe d'Europe, ça tourne et ça produit du jeu. Ca compte pour avoir de bonnes notes régulièrement à Sorare" note Clément. Et il ne faut donc pas négliger non plus ce surplus émotionnel, ces secondes de bonheur en plus, quand une scène de joie habituelle après un but est prolongée lorsqu'on réalise que le buteur est également dans son quintet sur Sorare !

 

Ounahi, une blessure qui devient une opportunité

 

Attention tout de même, il faut être conscient que son attachement peut être une faiblesse. Si le but premier est d'avoir le meilleur effectif possible, il faut être prêt à se séparer de certains au bon moment. Ce n'est pas toujours évident avec des joueurs fétiches. "L'avantage, c'est que tu connais ton équipe par cœur. L'inconvénient, c'est que ta vision des joueurs est parfois biaisée parce que tu y es trop attaché" résume Clément. Autre inconvénient, comme dans la vraie vie, les fans de l'OM sont plus nombreux sur Sorare. Du coup, les cartes des joueurs olympiens sont plus demandées. Vitinha a beau être encore en phase d'adaptation, il reste bien plus coté que d'autres attaquants de Ligue 1 plus prolifiques jusqu'à présent, car ils sont nombreux à se dire que quand le Portugais va se mettre à scorer, il ne va plus s'arrêter. Il faut donc penser au coup d'après et être réactif quand l'occasion se présente. Cela a été le modus operandi d'Arnaud lors de la dernière trêve internationale avec la blessure d'Azzedine Ounahi. "Certains managers qui étaient en possession de sa carte n'ont pas vu plus loin que sa blessure qui allait le priver d'une bonne partie de la fin de saison. Mais moi je l'ai vu jouer, je suis convaincu qu'il a un avenir à l'OM donc c'était mon moment pour le recruter".

 

La saison prochaine se prépare dès maintenant.